C’est pour prolonger la période de liberté qu’il a connue aux Beaux-Arts d’Angoulême que Guillaume Trouillard fonde en 2003, autour d’une bande d’étudiants, la revue Clafoutis et la structure éditoriale qui va avec : un espace d’expression créé par et pour les dessinateurs. Si les premiers livres sont logiquement commis par les camarades de promotion, le catalogue s’internationalise peu à peu, avec une attention particulière portée au dessin chinois.
Vingt et un ans et une trentaine de titres plus tard, les motivations et le désir restent intacts !